Chlorfenvinphos - Insecticide et acaricide
Production
Le chlorfenvinphos a été introduit pour la première fois aux États-Unis en 1963 par la Shell International Chemical Company Ltd., Ciba AG (maintenant Ciba-Geigy AG) et par Allied Chemical Corporation.
Son utilisation principale était comme insecticide et acaricide pour lutter contre les insectes nuisibles sur le bétail et les nuisibles domestiques tels que les mouches, les puces et les acariens. Depuis sa première application, de nombreux fabricants ont inclus le chlorfenvinphos dans leurs produits. Certaines appellations commerciales courantes sont Birlane®, Dermaton®, Sapercon®, Steladone® et Supona®. Cependant, depuis 1991, les informations sur la production actuelle de chlorfenvinphos sont contradictoires. Malheureusement, la base de données TRI (Toxics Release Inventory) ne contient aucune donnée sur les rejets totaux de ce composé dans l’environnement par les installations. Cela est principalement dû au fait que le chlorfenvinphos n’était pas considéré comme une toxine dangereuse avant le début des années 90. Par conséquent, le chlorfenvinphos ne fait pas partie des composés au sujet desquels les installations ont dû être déclarées à l'inventaire des rejets toxiques.
#Chlorfenvinphos #Phytos
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Le chlorfenvinphos a été introduit pour la première fois aux États-Unis en 1963 par la Shell International Chemical Company Ltd., Ciba AG (maintenant Ciba-Geigy AG) et par Allied Chemical Corporation.
Son utilisation principale était comme insecticide et acaricide pour lutter contre les insectes nuisibles sur le bétail et les nuisibles domestiques tels que les mouches, les puces et les acariens. Depuis sa première application, de nombreux fabricants ont inclus le chlorfenvinphos dans leurs produits. Certaines appellations commerciales courantes sont Birlane®, Dermaton®, Sapercon®, Steladone® et Supona®. Cependant, depuis 1991, les informations sur la production actuelle de chlorfenvinphos sont contradictoires. Malheureusement, la base de données TRI (Toxics Release Inventory) ne contient aucune donnée sur les rejets totaux de ce composé dans l’environnement par les installations. Cela est principalement dû au fait que le chlorfenvinphos n’était pas considéré comme une toxine dangereuse avant le début des années 90. Par conséquent, le chlorfenvinphos ne fait pas partie des composés au sujet desquels les installations ont dû être déclarées à l'inventaire des rejets toxiques.
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